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 SOLEANNE ♣ The scars of your love remind me of us

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A. Soléanne Van Johnson


A. Soléanne Van Johnson


MESSAGES ENVOYES ✿ : 150
DATE D'INSCRIPTION ✿ : 13/06/2011
CHANSON DU MOMENT ✿ : J'en aime tellement (a)
ETUDES/METIER ✿ : Etudiante en journalisme





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SOLEANNE ♣ The scars of your love remind me of us Empty
MessageSujet: SOLEANNE ♣ The scars of your love remind me of us   SOLEANNE ♣ The scars of your love remind me of us EmptyMer 15 Juin - 10:51


A. SOLEANNE VAN JOHNSON







    PRÉSENTATION

    • PRÉNOMS : Alix Soléanne
    • NOM : Van Johnson
    • ORIGINES : Américaine & Hollandaise
    • LIEU DE NAISSANCE : Staten Island à NY
    • AGE : 20 ans
    • MÉTIER/ÉTUDES : Étudiante en journalisme
    • STATUT : Célibataire
    • CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR : Dianna Agron


    CARACTÈRE


    Souriante • Jalouse • Gentille • Trop fêtarde • Franche • Impulsive • Attentionnée • Caractérielle • Sociable • Manipulatrice • Créative • Joueuse • Riche • A l'écoute • Maligne • Déterminée • Timide • Rancunière
    A première vue, Léanne a l'air une petite garce superficielle qui ne pense qu'à l'argent mais, c'est loin d'être le cas. L'argent, elle en a rien à faire, seul le bonheur est important et ça, elle s'en rend compte petit à petit.
CRÉDIT - FICHE




TAKE ME OR LEAVE ME




J‘étais partie faire un tour dans la ville quand je croisai mon frère, Dean, avec une bande d‘amis. Je ne les aimais pas, ils étaient bizarres et en plus de ça, ils lui faisaient prendre tout un tas de conneries. Il vint à ma rencontre alors, je me stoppai nette et l’attendis en soupirant : « Pourquoi tu traines encore avec ces mecs ? » Il rejeta un dernier regard au dessus de son épaule avant de tourner le regard vers moi en souriant. « Arrête Léanne, ils sont cool. » C’est vrai qu’ils avaient une grand réputation mais, elle était loin d’être la meilleure. Le « leader » du groupe, si l’on peut dire comme ça, être un dealeur et cela, la plupart du lycée le savait. « Cool oui, fréquentables non. » Je n’aimais pas que mon grand frère sorte avec ce genre de mecs, à chaque fois ça tournait mal. Il passa son bras autour de ses épaules et me répondit en fronçant les sourcils : « Et si tu te mêlais de tes affaires petite sœur. » Il n‘avait pas tord, j‘avais toujours été comme ça. Je ne supportais pas le fait qu‘il puisse être dépendant à la drogue plus tard, autant agir vite ! Je me mis à rire. C‘était étonnant, on était toujours en train de se contredire ou de se lancer des piques mais, jamais on ne s‘engueulait vraiment. Pourtant, entre frère et sœur, c‘était souvent le cas. Nous, on était différent. « Tu sais très bien que si je te dis ça c’est parce que je t’aime. » Cette phrase, je l’avais volé à ma grande sœur, la jumelle de Dean, j’ai nommé Sienna. Je l’avais toujours prise comme modèle et, encore aujourd’hui je dois avouer. « Et toi ? Quand est-ce que tu diras aux parents que tu veux étudier la photographie au lieu de te laisser marcher sur les pieds ? » Il détourna la conversation pour parler de moi. Depuis que je suis toute petite, j’ai toujours voulu devenir une grande photographe, comme si j’étais née avec un appareil photo autour du cou. Mes parents avaient décidé un tout autre chemin pour moi, ils me voyaient déjà rédactrice en chef d’un grand magazine de mode ou encore écrivaine. Je n’arrivais pas à leur avouer que mon choix était portée sur un tout autre domaine. « Ça leur fait plaisir, je ne veux pas leur briser le cœur. Je te promet d’essayer ! » Aussitôt dit, aussitôt fait, à peine posée le pied dans l‘hôtel familial, je montais les escaliers et allai rejoindre mes parents dans le grand salon. Une fois arrivée à destination, je pris une grande inspiration avant de le lancer. « Maman, papa, j’ai quelque chose à dire, je voudrais… » Je n‘eus pas le temps de finir ma phrase car ma mère me coupa la parole en venant m‘embrasser sur le front. « Ah Soléanne, tu tombes bien, nous avons reçu une lettre de Sanders. » Ah oui c’est vrai, mes parents s’étaient mis dans la tête que j’allais faire mes études à Sanders, une grande université où était déjà inscris les jumeaux. « Oui justement je… » Une fois encore je fus interrompue mais cette fois, par mon père. Il parla avec un employé de l’hôtel avant de tourner le regard vers moi : « Tu es acceptée ! » Ma mère lui lança un regard noir, comme si elle lui en voulait de l‘avoir dit aussi brusquement. A tous les coups, elle voulait me l‘annoncer elle-même. Je me laissais tomber sur le canapé en soupirant et, tout en faisant la moue je prononçai une dernière phrase : « S’il vous plait, j’essaye de vous dire quelque chose d’important. » Ma mère affichait un sourire radieux, celui dont j’avais, par chance, hérité. « On en parlera plus tard tu veux, on va raté votre avion. » C’était raté pour cette fois. Je n’arrivais pas à parler avec mes parents, ils étaient toujours comme ça. Toujours en voyage pour le travail ou seulement pour prendre des vacances. Cette fois-ci, c’était un voyage d’affaire pour mon père et, ma mère n’aimant pas rester seule à la maison avait décidé de l’accompagner. « Oui, tu connais ta mère, toujours tout à la dernière minute. » Je tenterais la prochaine fois !

C’était un week-end, je me levais avec difficulté car ces temps-ci, je passais mes nuits à faire la fête plus qu’à dormir ! Mon frère était parti en cure de désintoxication après s’être disputer violemment avec mes parents suite à son comportement qui avait beaucoup changé. Je n‘avais rien pu faire pour les faire changer d‘avis et, je leur en voulais un peu de me l‘avoir enlever. Il faut dire que j‘avais fini par céder, Dean n‘arrêtait pas de me dire qu‘il savait ce qu‘il faisait, qu‘il était assez grand pour se débrouiller et, comme j’avais mes propres problèmes, je l’ai laissé se débrouiller. Bien sur, je regrettais ! Mais j’avais quelqu’un d’autre en tête en ce moment, un dénommé James. C’était mon meilleur ami depuis toute petite et, on était inséparable. Nos parents étaient amis, nous étions à notre tour, ils nous voyaient déjà marier avec de beaux enfants. Bien sur, pour eux, c’était une solution strictement financière mais pour moi, c’était plus sentimentale qu’autre chose. Bref, je descendis dans la cuisine un peu crevée quand je vis ma sœur appuyée contre le plan de travail. « Bon ma chérie, les parents sont partis en vacances tous les deux et, ils m’ont demandé de te surveiller. » J’ouvris le frigo pour me trouver de quoi manger puis, allais m’avoir au bar en lui répondant : « Très bien, j’ai dix-sept ans mais c’est pas grave ! Est-ce qu’on a de prévu ? » Mes parents me prenaient toujours pour une gamine, comme si je n‘arrivais pas à m‘occuper de moi-même. La jeunesse dorée de Détroit, c‘est ça qui les inquiétaient, que je ne devienne pas la gentille petite fille à papa qui écoute tout ce qu‘on lui dit. Ma sœur avait l‘air de l‘une d‘entre eux mais, les apparences sont trompeuses ! « Qu’est-ce que tu penses d’une petite fête improvisée à la maison ? » Je le offris mon plus beau sourire et, en sautillant dans la pièce, je lui répondis en lui sautant au cou : « J’ai toujours su pourquoi je t’aimais Sienna. » Et la fête eut lieu comme prévu et, sans interruption ou du moins, pour la plupart d‘entre nous. J‘étais à la recherche de mon meilleur ami qui, d‘après les dernières nouvelles, était déjà arrivée. Je trouvais ça étonnant qu‘il ne soit pas venu me saluer mais, je compris très vite quand j‘entrais dans ma chambre et que je le vis dans mon lit avec ma propre cousine. Bien sur, comme tous bons films, je partis sans dire un mot. Quand j‘entendis sa voix derrière moi, je me retournai dans les escaliers. « C’est pas ce que tu crois Léanne. » C’est toujours ce qu’il dise. Je sais ce que j’ai vu. Malgré ça, je soupirais en lui répondant : « Et tu crois que je crois que c’est quoi ? » Ok, l‘alcool me laissait dire des choses folles et lui, ne comprit pas vraiment ce que je voulais dire. « Je… J’ai pas tout compris là. » Il fallait si attendre. Il descendit quelques marches mais, s‘arrêta nette quand je dis calmement : « C’est pas comme si on sortait ensemble James, tu fais ce que tu veux. » C‘était le cas malheureusement. J‘avais toujours eu peur de briser notre amitié en lui disant tout ce que je ressentais pour lui, je pensais que c‘était mieux comme ça mais, le voir avec une autre fille m‘avait toujours fait mal au cœur. Je sentis mes yeux me piquaient, ils étaient aussi brillant que les étoiles ce soir là et, je crus que j‘allais fondre en larmes. « S’il te plait ! » Je relevais le regard vers lui en souriant malgré le fait que qu’une boule venait de se former dans ma gorge. « T’es mon meilleur ami, t’es censé tout me dire c‘est tout. » Je finis par descendre pour ne plus remonter jusqu’au lendemain. Tout ce qui arrivait était de ma faute, c’était seulement et simplement parce que j’avais la trouille de ce qu’il pouvait arriver si je lui avouais que j’aimais tenir le début.

J‘étais allongée sur mon lit, tranquille dans ma chambre. Une feuille posée devant moi, le stylo à la main, j‘essayais de trouver l‘inspiration depuis plusieurs heures déjà. Il fallait que j‘écrive un article pour le lendemain mais, je ne pensais qu‘à une seule et unique chose, LUI. Je sursautai légèrement quand j‘entendis toquer à ma porte, ma sœur montra le bout de nez puis, finit par venir s‘asseoir à côté de moi. « Ça ne va pas ? » J’arrêtais alors de tapoter le stylo contre la feuille en papier et, le regardais en souriant : « Si… Tout va bien je te jure. » Je savais que je n‘étais pas convaincante mais, je n‘arrivais même plus à faire semblant. Sienna soupira en poussant la feuille que j‘avais devant moi. « Arrête, je te connais. Je sais que quelque chose ne va pas. Tu peux tout me dire tu sais. » Je me redressai, prête à en parler. Il fallait bien que ça sorte un jour ! « C’est James. » Mais ça, je suis sure qu’elle le savait déjà. Il n’y a que lui qui arrivait à me mettre dans cet état. Elle eut un sourire. « Oh je vois ! » Mais très vite, celui-ci disparut quand j‘hochais la tête négativement. Elle se trouvait sur toute la ligne ! « Non, c’est pas ça. Il… » Elle me coupa en me prenant dans ses bras et en me disant : « Je suis désolée ma puce. » C‘était toujours comme ça avec Sienna. Je l‘adorais, elle était toujours à l‘écoute mais, vraiment trop impatiente. Plus tard, elle voulait être psy du coup, elle essayait d‘analyser les situations et les émotions mais, elle n‘était pas encore au point. Je soupirais avant de dire sèchement pour qu‘elle comprenne cette fois-ci : « Parti ! Il est parti ! » Elle s‘écarta pour me regarder avec de gros yeux : « Il est quoi ? Mais où ça ? » Je levais les bras au ciel en signe d’ignorance. « J’en sais rien, il est parti sans rien me dire. J’ai laissé une centaine de messages sur la messagerie qui est maintenant saturée, je lui ai envoyé des tas de sms mais il me répond pas. » J’avais passé ces deux derniers jours au téléphone à essayer de le rejoindre mais, jamais je ne pus entendre sa voix. Est-ce qu’il essayait de m’éviter depuis la soirée ? Je n’en savais rien mais une chose était sure, il me manquait et, j’étais bien décider à lui pardonner.

Finalement, je n‘avais pas eu le courage de dire à mes parents que j‘avais envie d‘arrêter l‘écriture, le journalisme pour me mettre à la photographie. Maintenant, je n‘avais plus personne pour m‘appuyer ! Dean était toujours dans son centre, James était je ne sais pas où et, il m‘avait bel et bien oublié et pour finir, Sienna n‘était pas très convaincante. La seule qui aurait pu me faire changer d‘avis ? Eleonora, ma cousine mais, depuis cette soirée, je lui en voulais beaucoup. Je la considérais comme la cause de la disparition de James, de mon malheur et, je détestais la voir rire avec ses amies comme si rien ne c‘était passée. Elle avait ce sourire narquois, ce comportement de riche superficielle qui m‘insupportait et, sa voix… « Est-ce que tu vas m’éviter comme ça longtemps ? » Je faisais semblant faire comme ci elle m’était indifférente et, posée à une table dans la grande cours, je ne décollais pas mes yeux du magazine de mode que j’étais en train de lire. « J’en sais rien, surement. » Elle soupira avant de me prendre le livre des mains. Je lui lançais un regard froid et distant. « Ecoute, je sais pas combien de fois je vais devoir m’excuser mais, on doit passer tous nos week-end ensemble alors autant mettre fin à cette haie tout de suite. » Oui, dans la grande famille que sont les Van Johnson, nous avons droit aux repas de famille tous les week-end, aux grandes réceptions d‘affaires ou encore aux mariages et anniversaires. Ce monde parfait m‘énerve, c‘est toujours la même chanson, toujours les mêmes choses. J‘avais l‘impression que mon destin était tracé d‘avance et que je n‘avais pas le choix, que je devais le suivre même si cela me coûter une énorme partie de bon bonheur. Je lui arrachai mon magazine des mains en me levant d‘un bond puis, lui répondit sèchement : « Ou faire comme on fait en ce moment. » C’est-à-dire s‘ignorait à l‘université et, jouait à la petite famille parfaite le week-end en restant à l‘écart l‘une de l‘autre. C‘était comme devenue instinctif, nous ne pouvions plus nous approcher l‘une de l‘autre. « Non je… » Elle n‘avait pas son mot à dire dans cette histoire, c‘était ma décision et, si elle ne voulait que je chante sur tous les toits ses petits secrets, il fallait qu‘elle joue avec mes propres règles et qu‘elle se plie à elles. « Tu n’as pas le choix désolé. » Elle essaya tant bien que mal de me retenir en marchant à côté de moi. J’avais envie d’une seule chose, me retourner et lui faire comprendre les choses clairement mais, même comme cela, elle ne pourrait pas comprendre. Plus j’accélérais, plus elle faisait la même chose et, c’est en baissant mes lunettes et avec un sourire de garce que j’ajoutais méchamment et sure de moi : « Ecoute ma chérie, le jour où j’aurais envie de te parler, tu l’apprendras par My Sweet Diary ! Pour le moment, je te considère toujours comme une garce qui n‘en vaut pas la peine ! » Cette fois ci, Eleonora resta bouche bée sur place alors que j’avançais en direction du bâtiment. Elle n’aurais jamais pensé que j’aurais le courage de lui dire ce que je venais de dire. Je m’étonnais moi-même d’ailleurs. J’avais toujours été si compréhensive, gentille et attentionnée. Aujourd’hui, j’étais bien décidée à montrer qui j’étais vraiment et de quoi j‘étais capable.


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SOLEANNE ♣ The scars of your love remind me of us

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